Être mis en avant par Laurent Garnier dans sa fameuse émission de radio « It is What it is », ce n’est pas donné à tout le monde. Oniris, qui a su prouver son talent lors de la dernière édition du festival Astropolis sur la scène extérieure de Beau Rivage, et dont le monde de la musique électronique, notre chouchou Agoria en tête, s’est rapidement entiché, ne peut pas envisager de CV plus béton. Et tout ça alors qu’on peut encore le considérer comme un petit nouveau dans le métier ! Une explication, docteur ? Si vous voulez, mais on vous prévient, le diagnostic est presque trop simple : ce type est bon, voilà tout. Le rétro bien vissé sur des ainés (déjà cités précédemment), Oniris prend toutefois le parti d’un spectre sonore plus fouillé, et donc plus imagé, ce qui le rapproche doucement d’un Rone, en bien plus puissant. Si vous êtes prêt à vous faire offrir un tas de belles images mentales tout en dansant comme un furieux, vous tenez une bande originale parfaite, donc. Son nouvel EP, nommé Let Us Fight, sur Astropolis Records, confirmera tout le bien qu’on pense de lui, notre parole n’attendant qu’un petit clic de votre part sur le lecteur ci-dessous pour être confirmée. Profond, dédaléen, le mix qu’il nous offre tisse un décor aux détails précis et nombreux. Un petit perfectionniste, cet Oniris ? Il semblerait bien.

astropolis.org/records

Tsugi Podcast 303 : Oniris by Tsugi Mag on Mixcloud

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