Entre rock, rap, pop et musique électronique underground, cette semaine s’est montrée généreuse en sortie de clips singuliers. Au programme, on part en mission spatiale avec Damso et Kalash, on rentre en communion Dame nature en compagnie Mou, on expérimente l’IA avec TSHA, on danse au ralenti avec Terence Etc. et on suit l’obsession de Polycool pour les ciseaux.
Terence Etc. – « Stay »
Mélangeant photographies intégrées, plans à l’argentique, écran partagés et ralentis, le dernier clip de l’américain Terence Etc. nous offre un beau moment de poésie. Le morceau, à la mélancolie puissante portée par la voix berçante du chanteur, est extrait de son tout dernier album Vortex, sorti en août dernier.
TSHA – « Running »
La jeune et talentueuse productrice TSHA basée à Londres revient avec un nouveau clip futuriste pour son single Running. Réalisé par l’artiste Danaé Gosset, la vidéo à été créée à l’aide de la technologie artificielle utilisant -entre autres- l’aquarelle et l’acrylique, le tout superposé avec des éléments 3D adaptés au morceau. C’est le troisième single de son album Capricorn Sun qui sortira le 7 octobre prochain.
Kalash & Damso – « Malpolis »
À chaque fois que ces deux-là sortent une collaboration, la magie opère instantanément. De retour avec leur nouveau son « Malpolis », Kalash et Damso nous offrent un « Mwaka Moon » 2.0, avec un clip tourné en direct d’une station spatiale, planète Terre en fond de vision. Clippé par le même réal’ Pierre Saba-Aris, ce doublette magique aux collaborations multiples montre -encore une fois- qu’elle est trop loin pour nous.
Mou – « Fleurs »
Toujours entre hip-hop et pop, le rappeur nantais continue sa quête musicale en nous offrant un nouveau clip tout en déclaration d’amour à Dame Nature. Avec son single « Fleurs », il nous fait cadeau d’un single inédit que l’on pourra retrouver sur son album Nirvanana, prévu pour novembre.
Polycool – « Unlike You »
Dans « Unlike You », Polycool nous parle déjà d’amour, le thème central du disque intitulé Lovoscope qui s’apprête à sortir. L’amour passé, parfois douloureux et a minima désagréable, avec lequel il faut couper. Le trio prend ça au sens littéral dans le clip, dans un univers gentiment psyché. Côté son, synthés dansants, pleins de groove mais fragiles, solos de guitares acides et toujours une voix haut perchée. Simple et funky.
