Cette semaine avec les clips, on part à la Foire du Trône avec Johnnie Carwash, on active le mode Rock’n’roll avec Rebotini, on a un accident de voiture avec Lomepal, on part à la plage avec Le Roi Angus et on danse dans un champ avec Johnny Jane.

Lomepal – Decrescendo 

« Mon dieu qu’elle me manque », c’est sur cette phrase que l’on voit Lomepal tomber d’un pont en voiture, dans son dernier clip saisissant de « Decrescendo ». Issu de son dernier album Mauvais Ordre, ce titre est le parfait exemple d’une montée en puissance, phase après phase, couplet après couplet, dont seul Lomepal a toujours eu le secret. Quelques jours avant la sortie du clip, il l’annonçait sur ses réseaux comme le clip « le plus ambitieux de sa vie ».

Johnnie Carwash – I Don’t Give A Shit

Le trio Johnnie Carwash est de retour avec un nouveau morceau et nous emmène dans une virée à la fête foraine du coin, néons et auto-tamponneuses à l’appui. Des couleurs vives, une énergie communicative et une bande de potes déchaînés : parfait pour illustrer ce titre dont la fraicheur pop s’allie naturellement à un garage bordélique.

Le Roi Angus – Couchés sur le sable 

Le roi Angus, projet musical composé de Casimir M.Admonk et de ses trois musiciens, est de retour avec un nouveau clip psychédélique en direct de dunes ensablées. Des visuels qui s’adaptent parfaitement à la balade planante, décalée et poétique dévoilée par le groupe à la croisée de la chanson française et de la scène indé anglophone. Leur nouvel album Sosie sortira le 27 janvier 2023.

Arnaud Rebotini – THE SPARK IN HER EYE

Le producteur/BOiste Arnaud Rebotini revient avec un nouveau clip pour son morceau « THE SPARK IN HER EYE », issu de son dernier maxi. Avec du rouge et du noir, des chaines et des têtes de mort décuplées à répétition, Rebotini nous dévoile un clip à l’image de son dernier projet I Drive East en mixant habilement industriel et rock-psyché.

Johnny Jane – Normal

Dans son nouveau clip, le chanteur orléanais Johnny Jane nous embarque dans un trip champêtre. Et ça fait du bien. Au croisement du rock anglo-saxon et de la chanson française, il nous offre un hymne à la fête, avec toujours cette pointe de mélancolie animée par une mélodie que l’on adopte tout de suite.