Les albums essentiels de Berlin selon !K7, Monkeytown et Klasse Recordings
Pour fêter le premier marché des labels indépendants à Berlin, The Vinyl Factory est allé demander aux maisons de disques locales – !K7, Monkeytown et Klasse Recordings tout de même – leur « Berlin essentiel ». Sélection de leur sélection.
1 – !K7
Ce n’est pas parce qu’on fait dans la techno berlinoise qu’on a pas le sens de l’humour. En tête de l’essentiel de !K7, David Hasselhoff sans maillot de bain en recherche de liberté. Hummmm… on a des doutes.
David Hasselhoff – Looking For Freedom (White Records, 1989)
Un poil kitch encore, mais cette fois-ci on aime.
Alexander Marcus – Papaya (Kontor, 2008)
Soyons un peu sérieux. Retour à la bonne grosse deep house.
Edward – A Piece Of Us (Giegling, 2010)
2 – Monkeytown Records
La musique assez tarée de Siriusmo. Selectionnée aussi bien pour ses bulles acides que pour le génial artwork de l’artiste électro/graffeur/illustrateur.
Siriusmo – The Uninvited Guest (Monkeytown, 2009)
Après tout, c’est leur label…
Modeselektor – Monkeytown (Monkeytown, 2011)
Le rap allemand a ce quelque chose de charmant.
Westberlin Maskulin – Hows, Flows, Moneytoes (Home Recordings, 1999)
3- Klasse Wrecks
Les post-punk Robocop Kraus ont un usage tout a fait personnel du saxo.
Robocop Kraus – Fake Boys (L’Age D’Or, 2003)
Oldschool, Baby. tout est dit.
WestBam and Nena – Oldschool, Baby (Lowspirit, 2002)
Ça tappe, ça secoue, ça pleut, ça saxonne.
Luca Lozano – Berlinetta (Dirtybird, 2009)
Pour la sélection intégrale, c’est par ici.