Jacques, Agar Agar, Renart… On réécoute les interviews Tsugi Radio des lauréats de Séquence
Séquence : c’est le nom du programme du FGO-Barbara, qui offre à huit lauréats une jolie enveloppe, un dispositif d’accompagnement professionnel ou encore un accès illimité aux studios du FGO. L’idée ? Aider des groupes et artistes à se développer, que ce soit via la sortie d’un album, la préparation d’une tournée, ou d’autres projets un peu fous – comptez sur Jacques, bien sûr, pour avoir des idées un peu zinzins. Bref, un dispositif que l’on a évidemment eu envie de soutenir sur Tsugi, toujours dans notre optique de défrichage et de découvertes de nouveaux artistes.
Certains, parmi ces huit lauréats, ont déjà squatté nos ondes, pages et compilations, comme Agar Agar et son « Prettiest Virgin » (à la tracklist d’une de nos compil’ d’été), Louise Roam, qui nous a accompagné dès les débuts de Tsugi Radio en enregistrant des jingles, ou encore Jacques, que l’on suit depuis son premier titre. Mais Séquence, c’est aussi de nouvelles rencontres, organisées chez les artistes ou dans les studios du FGO-Barbara. A la fin, huit interviews, huit pattes bien précises, et huit espoirs pour la scène indé française.
(Photos : Goledzinowski)
Jacques nous parle ici de ses prochains projets, lui qui fourmille toujours d’idées.
Un jeu vidéo ?! Les Agar Agar risquent de nous faire marrer dans les prochains mois, toujours en s’affranchissant des codes de formats et de styles.
« L’avant-ringardise » de Maud Octallinn est l’un des seuls projets de « chanson » de cette sélection. Elle fait chanter les pianos, même désaccordés, et revient sur son enfance bercée de musique.
Pierre et Quentin d’Iñigo Montoya nous parle de leur « pop sans frontière » épique, qui amène à la transe avec grand plaisir.
Louise Roam est une habituée de Tsugi Radio. Cette sélection pour Séquence est l’occasion de prendre des nouvelles. Et quelles nouvelles ! Louise Roam en effet est de plus en plus tentée par la chanson en français… On vous le confie : ça lui va merveilleusement bien.
Renart part en live pendant cette interview, entre théorie du complot, scolastique électronique et Steve Reich… Parlons-en !
Quinze minutes tout pile pour (re)découvrir le doux Wilfried, qui n’en est pas à son coup d’essai. Avec quatre albums au compteur, il voudrait ajouter une nouvelle corde à son arc : la danse.
Dernière à passer devant le micro d’Antoine Dabrowski, Schérazade revient avec émotion sur la passion de ses parents pour la musique.