En direct d’IR à Barcelone, jour 4
C’était un peu la soirée de tous les choix cornéliens, hier à IR BCN. Puisque quand on arrive, il y a déjà un duel qui a de la gueule : la soirée Dekmantel sur Plaza Mayor avec une Nina Kraviz qui fait le taff, alors que de l’autre c’est un peu plus solaire au Monasterio avec le crew Pampa Records. On ne quittera jamais ce bon vieux Monasterio, et on vous dit pourquoi.
Parce qu’il y avait le plus groovy de tous les Allemands d’une part, et le plus exotique de tous les Britanniques de l’autres : soit DJ Koze et Gold Panda, vous comprendrez donc qu’on voulait ramener le plus de soleil possible dans nos valises, parce qu’on ne sait pas ce que le ciel nous réserve sur Paris, hein. Derwin Schlecker alias le « Panda d’Or » s’est tout d’abord chargé de créer la BO du coucher de soleil, nous emmenant faire un tour du côté de son « Brazil » ou de son « Enoshima ». Comme la veille, notre « glissoir » s’est transformé en min-dancefloor perché. Pour pénétrer sur le vrai dancefloor, c’est un peu plus compliqué, « faut pas être trop gros » comme on dit.
De l’autre côté il y a Dixon, alias le meilleur DJ de l’année 2014 selon RA. Mais on est trop bien ici. Le live de Gold Panda s’étend un peu sur celui de son homologue allemand, mais c’est pas grave après tout, DJ Koze a trois heures pour se faire plaisir. Trois heures entre techno smooth et élégances house de son dernier DJ Kicks, et un soundsystem plus costaud qui nous a véritablement retourné les chevilles – presque au sens propre du terme.
Meilleur moment : l’instant « Brazil » de Gold Panda.
Pire moment : on a testé le sandwich Seitan…