Dour Festival, cinq jours de fêtes monstrueuses
Du 11 au 17 juillet, la Belgique et le reste de l’Europe se met au rythme de « Doureuuuh« . Le festival est de retour avec une programmation -comme souvent- monstrueuse (Booba, Angèle, Folamour, Black Country, New Road, black midi, Shygirl) et quelques nouveautés.
Plus de deux-cent-cinquante artistes, cinq jours de festival (ou sept si vous êtes là au warm-up), huit scènes : des chiffres qui donnent le tournis. On peut dire que Dour, le plus grand festival d’Europe dédié aux musiques alternatives, sait organiser les retrouvailles avec son public après deux années chastes. Et il aime le gâter ! Car cette année les festivités débutent un peu en avance avec le CampFest, qui ouvre ses portes en amont du festival dès le lundi 11 juillet. Inspiré par les mini-parties organisées pendant le confinement – comme quoi, tout n’est pas à jeter dans cette période – CampFest fera danser les festivalier·es aux sons de quatre soundsystems pendant trois jours. Autre surprise, La Chaufferie, une nouvelle scène en forme de chapiteau où tous les codes du clubbing sont repris : le noir, les lasers, les jeux de lumières.
Ok, on a compris Dour, revient en force. Mais Dour ne serait pas Dour sans sa programmation éclectique et électrisante. Et cette année elle donne le vertige. On retrouve des artistes de tout genre et de tout horizon. Booba, Hamza, Folamour, Black Country, New Road, black midi, Shygirl, Ascendant Vierge, Casual Gabberz, Chilla, Flume, Metronomy, Princess Nokia…. on ne peut pas tous·tes les citer. 220 noms, c’est un peu long. Mais on peut vous assurer qu’en cinq jours passé à Dour vous aurez voyagé du jazz post-punk à l’électro-pop, du Bénin à l’Australie.
On vous laisse checker l’intégralité de cette programmation titanesque