La voix de Marie Madeleine s’élève plus que jamais, ardente et scandaleuse, autour d’une basse funèbre et profonde portée par des synthétiseurs aussi acides que mélancoliques. Le duo formé par Diana Kill (chanteuse principale, clavier) et Alfred Moon (chanteur principal, clavier, boîte à rythmes et séquences) raconte des histoires imprégnées de noirceur et de sensualité. La passion, selon Marie Madeleine, est faite de chansons qui tournent mal, de dissidence et d’extase, où le féminin l’emporte toujours.