Terres du Son fait rimer musique et écologie pour un festival déjà mémorable
Fort d’un cahier des charges qui a fait de l’éco-responsabilité l’un de ses points centraux, le festival Terres du Son a également fait de l’éclectisme l’un de ses principaux atouts. Le résultat ? On obtient une programmation taillée pour tous les goûts -même les plus pointus.
Ce n’est pas un secret, on aime ce très beau festival qu’est Terres du Son. Si les performances à venir des quelques PNL, Myd, Juliette Armanet, Kungs ou L’Impératrice nous font bien sûr saliver, c’est aussi pour ses musiciens, producteurs et chanteurs écrits plus bas sur son affiche qu’on aime ce festival étiqueté Indre-et-Loire. Difficile de le cacher, on en pince pour Romane Santarelli et ses hymnes techno et club, le rock intense et sensuel de Lulu Van Trapp, la folk psychédélique d’Opac ou encore la tapageuse drum n’bass d’Elisa Do Brasil. En résumé, on adore ces artistes et leurs styles peut-être plus « niche » pour certaines oreilles mais qui n’en demeurent pas moins exaltants. Mention spéciale à Dirtyphonics, S+C+A+R+R ou encore Benjamin Epps qui seront, eux aussi, à ne pas manquer.
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Terres du Son c’est aussi et surtout un festival éthique et responsable, à l’avant-garde de la protection de l’environnement avec notamment la mise en place de panneaux solaires ou des points restaurations contrôlés, en vue de limiter son empreinte carbone. En effet, chaque restaurateur sur le site sera amené à ajuster au besoin son menu pour limiter l’émission de gaz à effet de serre provoqué par leur cuisine. Une politique ô combien importante dans le contexte de changements climatiques actuel qui coïncide avec la présence de l’éco-village accessible gratuitement durant le festival. Là-bas se tiendront des ateliers et des conférences. Terres du Son certes, mais « terre d’écologie » également !