Tsugi Daily : Les fils des membres du Wu-Tang dévoilent un premier single en mode old-school
Chaque matin, Tsugi Daily fait le point sur les petites infos marrantes, idiotes ou au contraire vitales que vous auriez pu louper la veille. A picorer sans modération !
Un premier single pour 2nd Generation Wu, les fils du Wu-Tang Clan
« Cash Rules Evreything Around Me« . Si ces paroles et ce morceau mythique du Wu-Tang résonnent encore dans les oreilles de nombreux amateurs de rap américain, c’est aujourd’hui au tour des fils des membres du clan de reprendre le flambeau. PXWER (fils de Method Man), InteLL (fils de U-God), Sun God (fils de Ghostface Killah) et Young Dirty Bastard (fils d’Ol’ Dirty Bastard) composent donc le groupe 2nd Generation Wu et proposent un premier morceau à intitulé « 7.O.D. ». Sur ce track hip-hop old-school, la célèbre phrase de Method Man dans « C.R.E.A.M. » à été remplacée par « God made everything around me, forget about the money, none of it is real you’all« , histoire de montrer leur différence d’éducation et que finalement, l’argent ne fait pas tout. Un hommage implicite à leurs parents, illustres légendes du hip-hop mondial qui semblent au moins avoir transmis à leurs fistons le goût de la bonne musique.
Un nouveau titre de Beck toujours avec avec Pharell à la production
Le chanteur américain Beck vient de sortir un nouveau titre intitulé « Everlasting Nothing ». Un extrait de son prochain album Hyperspace qui va sortir le vendredi 22 novembre. Après son morceau « Dark Places », sorti la semaine dernière, il propose aujourd’hui une nouvelle balade folk, encore co-produite avec Pharell Williams. Sur le morceau, le producteur joue d’ailleurs de la batterie et des claviers tandis que Beck chante, joue de la guitare et du piano. Une chose est certaine, « Everlasting Nothing » s’ajoute assurément à la liste des titres parfaits pour vos long voyages en voiture.
En attendant le 22 novembre, Hyperspace est disponible en précommande ici.
Le dernier clip tout en finesse de Marie Sigal
« Beauté » est le morceau qui ouvre le dernier EP Les géraniums de la chanteuse française Marie Sigal. Elle raconte que c’est après avoir lu La légèreté, une BD de Catherine Meurisse, rescapée des attentats de Charlie Hebdo, qu’elle eu l’idée d’écrire cette chanson. Dans ce clip très esthétique en noir et blanc, co-réalisé avec Lionel Pesqué, elle met en scène son propre corps comme une oeuvre d’art, une pièce vivante de musée, soumise à différents aléas. Avec sa voix percutante et sensible, on ne peut rester indifférent devant cette vidéo, de toute beauté.