Chaque matin, Tsugi Daily fait le point sur les petites infos marrantes, idiotes ou au contraire vitales que vous auriez pu louper la veille. A picorer sans modération !

Harcèlement sexuel : les chiffres inquiétants de la nouvelle étude de Musicians’ Union

48% des musicien·ne·s ont déjà subi du harcèlement sexuel sur leur lieu de travail au Royaume-Uni. C’est le chiffre choc qui ressort de l’étude publiée par Musicians’ Union, syndicat représentant 30 000 artistes. Parmi les 724 interrogé·e·s, 85% des victimes de harcèlement ne l’ont signalé à personne. Pour faire évoluer l’industrie musicale, l’organisation lance une pétition et appelle le gouvernement à protéger ces artistes du harcèlement. Leurs revendications ? Renforcer la loi pour éviter ce genre de comportements et une protection égale entre travailleurs freelance et ceux qui possèdent un emploi fixe.

Blu Samu lâche “GFM”, le premier extrait de son deuxième EP

La chanteuse et rappeuse belge Blu Samu revient secouer le rap game avec un nouveau morceau clippé, “GFM”. Ce titre est le premier extrait de son prochain EP à sortir mi-novembre. Quand l’un des gimmicks du morceau est “Suck my clit bitch”, on sait que ça va être cool. Une instru trap un peu sombre, un flow original et une attitude badass, avec ça Blu Samu explose tout dans “GFM”. Le clip mélange l’image sacrée de la femme parée et voilée et son anti-thèse : la femme qui s’apprête probablement à faire quelque chose de pas très catholique avec ses deux flingues. Quoi qu’il en soit, le morceau augure un bel EP.

Blu Samu donnera un concert à la Maroquinerie ce samedi 26 octobre, ça se passe ici pour acheter vos places.

Jaffna livre un clip pour « Playground »

Il assure la première partie de Thylacine pendant sa tournée, mais le duo Jaffna a quand même trouvé le temps de dévoiler « Playground ». Le titre électro-pop doux est accompagné d’un clip réalisé par Alexandre Degardin. Cette vidéo retrace l’histoire de Mihiran, un petit garçon sri-lankais qui vit à Londres. Il est passionné par une danse traditionnelle de son pays (normalement dansée uniquement par les femmes), mais ses parents s’opposent à sa pratique. Alors Mihiran s’enfuit dans la rue, pieds nus, et vit sa passion librement le temps d’une après-midi. Touchant.