Tsugi Daily : le clip à l’ancienne des Black Eyed Peas, les sorties de route de Muse…
Chaque matin, Tsugi Daily fait le point sur les petites infos marrantes, idiotes ou au contraire vitales que vous auriez pu louper la veille. A picorer sans modération !
Muse sombre dans « The Dark Side »
Double accident de parcours pour Matthew & the Bellamys. Après qu’Amazon a laissé fuiter la pochette et la tracklist du nouvel album Simulation Theory prévu pour novembre, Muse a publié le clip de « Dark Side ». Dans la lignée de “Dig Down”, “Thought Contagion” et « Something Human« , le groupe continue ses épopées futuristes et s’engouffre définitivement dans la vague synthwave… Sans grand succès. Un titre à nouveau sans saveur, à peine rattrapé par un clip bourré d’effets spéciaux. Si vous êtes fan de Muse depuis leurs débuts, préparez-vous à leur dire adieu.
Retour gagnant pour Black Eyed Peas avec un clip en deux parties
Retour vers le futur. Huit ans après The Beginning, les Black Eyed Peas s’apprêtent à faire leur grand retour… Sans Fergie, pour un nouvel album qui devrait s’intituler Masters Of the Sun. Le trio marque un vibrant retour aux sources avec le titre « Constant » et un clip en deux parties. Un son hip-hop à l’ancienne qui prône la pensée positive, la détermination et la paix. A la moitié du clip, le morceau prend une tournure électronique et le tempo s’accélère… Tout cela nous donne une forte envie de breaker. Surtout quand la voix de Jessica Reynoso -déjà présente sur « Ring The Alarm« – vient se poser comme une douce cerise sur un gâteau déjà bien riche. Va-t-on enfin pouvoir réécouter Black Eyed Peas sans se cacher?
Marie Davidson annonce un nouvel album, Working Class Woman
Après un an passé à Berlin, il est l’heure du bilan pour Marie Davidson. Dans ce quatrième album prévu pour le 5 octobre chez Ninja Tune, la Montréalaise parlera uniquement de ses expériences de Working Class Woman et d’elle-même. Le premier single « So Right » propose une progression habile. Les lignes de basse saccadées et constantes, voire robotiques, font écho aux paroles énervées (« You wanna know how I get away with everything? I work all the fucking time« ) avant un final qui brille par des touches de synthé placées à la perfection.