Hier se tenait la soirée de lancement de la e-tron, la nouvelle voiture électrique concept-car de Audi. Pour l’occasion la marque a mis le paquet en organisant une soirée au sommet d’un des bâtiments du parc des expositions. 

On arrive donc porte de Versailles et l’on grimpe tout les étages (une trotte!) avant de se retrouver sur le toit, avec vue sur la tour Eiffel ! A l’entrée on récupère nos bracelets qui, en plus de s’illuminer pendant les shows, sont connectés à nos réseaux sociaux et nous permettent de retrouver photos, instagram et autres tweets, eux même projetés aux murs pendant la soirée. 

On rentre donc dans la salle et la scéno est assez impressionnante, tout Paris s’étalant derrière les platines. Pendant que la Djette chauffe la salle, on passe au bar et l’on goûte les petits fours (étrange est un faible mot…) et enfin les 2 Many Dj’s apparaissent.  

Le set commence par une animation qui donne l’impression que le duo belge allume littéralement Paris. Le public met un bon moment à se chauffer (il restera assez timide ce soir) alors que le duo fait une selection sur-efficace : AlunaGeorges, Metronomy et leur traditionnel remix des « Cactus » de Dutronc. A une soirée Audi ou dans une petite cave : le duo a toujours autant de classe. On regrettera cependant les nombreux incidents techniques qui coupent brutalement sons et lumières et qui valent quelques huées aux DJ’s qui visiblement n’y sont pour rien.  

Vidéo de la soirée par Audi

Les festivités se poursuivent avec Gesaffelstein. Ce soir, le dress code des Djs c’est costard ! Comme on pouvait s’y attendre le set commence avec une techno bien sombre. Mike enchaine les tracks avec nonchalance, la clope toujours au bout des lèvres. On remarque pourtant une volonté de faire danser et on sent une lointaine influence hip hop (Brodinski?). Le bpm s’affole clairement alors que la salle se vide quelque peu (il est 23h30). On ne tarde pas trop non plus, ravis d’avoir pu profiter de ses deux grands artistes dans des conditions pareilles !

Meilleur moment : Zoé Félix et son second degré. 

Pire moment : Les coupures sons et lumières.