L’année de ses vingt-cinq ans, Solidays, le festival qui associe avec bonheur engagement et musique, annonce du 23 au 25 juin, une programmation des nuits aussi belle que celle des jours.

Qu’est ce que l’on verra cette année le jour à Solidays ?  En déambulant sur l’hippodrome de Lonchamp entre deux stands consacrés à la lutte contre le Sida (oui la maladie frappe encore, il est toujours bon de le rappeler), on pourra écouter, pour ce qui nous intéresse, Julien Granel, Kalika, Sofiane Pamart, Zaho de Sagazan ou encore Shygirl. La liste est longue.

©sylveremathieu

Mais, comme à (pratiquement) chaque édition, les nuits du vendredi et du samedi vont être encore plus agitées avec des line up passant par toutes les couleurs du prisme électronique. Qu’on en juge.

Le vendredi dès 23 heures, on pourra s’éclater aux sons de ascendant vierge, Anetha,  Irène Drésel, Shlomo, Sama’ Abdulhadi, sans compter le retour de Salut C’est Cool avec un intriguant projet baptisé Dimension Bonus. On en gardera sous la semelle pour le lendemain, où on sera dans les starting blocks à la même heure pour un samedi peut-être moins pointu, mais tout aussi taillé pour la fête avec en tête de gondole Mr Oizo, Vladimir Cauchemar, Kungs ou Mandragora.

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Ces nuits blanches sont accessibles à toutes celles et ceux qui possèdent déjà des pass de jour, mais comme ils sont quasiment épuisés, Solidays met en place spécialement des pass nuit ici donnant accès au festival de 23 heures à 5 heures pour s’éclater la tête dans le caisson. Avec modération, naturellement.

Toutes les infos sont à retrouver sur le site du festival !